Collectif de Révolte Anti-Capitaliste Poitiers
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilPortail*Dernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment : -36%
Aspirateur balai sans fil Dyson V8 Origin
Voir le deal
254.99 €

 

 OCCIDENT" colonise le Gouvernement de la République

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
black jack
Gloire a toi grand timonier!!!
Gloire a toi grand timonier!!!
black jack


Nombre de messages : 1069
Localisation : vous etes ici!
Date d'inscription : 01/10/2007

OCCIDENT" colonise le Gouvernement de la République Empty
MessageSujet: OCCIDENT" colonise le Gouvernement de la République   OCCIDENT" colonise le Gouvernement de la République Icon_minitimeDim 7 Déc - 23:57

"OCCIDENT" colonise le Gouvernement de la République ".

"

http://bellaciao.org/fr/spip.php ?article75616

bellacio a écrit:
Vendredi 5 décembre 2008

"Patrick
Devedjian qui entre au Gouvernement, ce n’est pas simplement un nouveau
ministère au goût de République bannière qui fait son apparition
("Ministère de la Relance économique" - à quand le "sous secrétariat
aux pneus crevés" le "sub-ministère aux chats écrasés" et on en passe
?).

C’est le symbole d’une génération qui grossit dans le cercle
de Fillon et Sarkozy : celui d’Occident, déjà représenté par le
secrétaire d’Etat chargé du commerce, de l’artisanat, et des PME, M.
Hervé Novelli, (lui aussi ancien d’Occident).

Groupuscule
fasciste, raciste, nationaliste et anticommuniste de la fin des années
60, Occident n’est pas une organisation caritative ni bon-enfant.

Elle
fait partie des ces petits éléments qui ont contribué à charrier au
travers des années la peste brune dans la pensée collective française
et qui ont toujours trouvé appui et soutien, même embarrassé, dans la
"droite française parlementaire".

Ce sont ce qu’on appelle dans le jargon étudiant "des fafs".

La
plupart des journalistes négligeront bien sûr de relever "ce détail",
ils négligeront de dire ce fait ; la plupart des "jeunes" l’ignorent -
ils ne pourront donc en être choqués.

Aussi il faut dénoncer
cela publiquement, avec force, à l’heure où Devedjian est nommé par
Sarkozy "Ministre de la Relance économique" : ce Monsieur fut (est
encore ?) un faf.

Novelli fut (est encore ?) un faf.

Une bonne partie de l’entourage plus ou moins proche de Sarko sont (furent ?) des fafs ou proches des fafs.

Novelli, Devedjian.... -

Madelin, lui, est actuellement recasé en Président du Fonds Mondial de Solidarité Numérique( sans rire) -

Gérard
Longuet a été conseiller politique de Juppé puis de Sarkozy, il est
actuellement et entre autre conseiller régional de Lorraine et
sénateur...Schuller est inexploitable depuis ses derniers exploits ...

Pour finir, un petit florilège des bons mots de l’Occident...A lire et à relire sans modération.

AH, ELLE EST BELLE LA "DOUCE FRANCE" !

Ivan -

Qu’est ce qu’Occident ? Extraits de Wikipédia

"(...)Le
mouvement est avant tout anticommuniste et anti-maoïste, dans le
contexte historique de la Guerre froide, et reprend les thèmes
classiques de l’extrême droite depuis le XIXe siècle.

Il
s’agissait clairement d’un mouvement "réactionnaire", c’est-à-dire
fondé sur la réaction aux "gauchistes", communistes, trotskystes ou
maoïstes.

Au début de 1966, Occident adopte pour mot d’ordre «
Tuez les communistes partout où ils se trouvent ! », reprenant à son
compte l’exhortation du maréchal Suharto en Indonésie, où les
communistes et présumés communistes sont assassinés par centaines de
milliers[4].

Les militants se disent prêts à défendre « l’armée
française partout où elle se bat » pour faire barrage notamment à
l’expansion du communisme.

Occident approuve le coup d’État des
colonels en Grèce et ajoute même : « La seule méthode reconnue pour
mettre fin à l’agitation marxiste étant l’élimination physique, nous
suggérons au gouvernement grec de ne pas se laisser prendre au piège
d’un pseudo-humanitarisme[5]. »

Il s’oppose au Général de Gaulle, considéré comme le « bradeur » de l’Algérie française.

Le
groupuscule s’en prend aussi à la franc-maçonnerie, au libéralisme
politique. « Ainsi, les nationalistes français constituent contre la
république maçonnique et ploutocratique le Parti de la Nation
française, le Parti de la seconde Révolution française, qui abolira les
effets néfastes de la première[6]. »

Occident dénonce la
démocratie, citant Louis-Ferdinand Céline : « Le gouvernement du
peuple, pour le peuple, et par la vinasse », et dénonçant « le mythe de
l’élection », qui doit être remplacé par la « sélection des meilleurs
éléments de la communauté populaire, en vue de constituer une nouvelle
élite, fondée sur le mérite et les talents ».

Il se montre ouvertement raciste, s’en prenant par exemple aux « métèques[7] ».

«
Ce que nous refusons comme irréel, c’est la vision égalitaire qui
prétend faire de l’humanité un ensemble de petits cubes égaux entre
eux. De toute évidence, les hommes sont inégaux […] ».

Les
membres d’Occident se réfèrent à l’écrivain Robert Brasillach (fusillé
en 1945 pour collaborationnisme), célèbrent les vertus du « sang » («
Le sang obsédera toujours l’esprit humain, sang mystique du Christ,
sang biologique de la fécondation [sic], sang commun à tous les peuples
d’Europe » écrit Occident université, n° 6, 5 mars 1965), exaltent l’«
ethnie française », et affirment : « Pervers et nuisible sous toutes
ses formes, le libéralisme est l’ennemi le plus dangereux du
nationalisme ».

Le terme « fasciste » n’est pas renié[8] : «
Dans toutes les démocraties, la jeunesse s’ennuie, et dans toutes les
démocraties, il y a des "blousons noirs". Alors que dans les pays
qualifiés de "fascistes", il n’y en a jamais eu. Cela tient au fait que
tout fascisme est l’expression d’un nationalisme, qui seul peut
cristalliser la volonté de la jeunesse en un immense élan
révolutionnaire ; le nationalisme, c’est la jeunesse au pouvoir. »

(...)

Commentaires des anciens membres ou sympathisants

*
Pour Patrick Devedjian : « Je ne me suis jamais caché de mon passé.
J’étais d’origine arménienne et c’était aussi une façon, pour moi, de
me sentir français. J’étais anticommuniste et, finalement, je n’ai pas
changé. Je me suis engagé pour la cause de l’Algérie française. J’ai
quitté Occident en 1966, après avoir découvert Raymond Aron. Ce
mouvement n’avait rien à voir avec l’extrême droite de Jean-Marie Le
Pen. C’était une autre époque, on ne peut pas comparer[9]... »

*
Pour Gérard Longuet : « Pour des raisons personnelles, j’étais Algérie
française et anticommuniste. J’ai fait un bout de chemin avec la FEN,
avant de basculer vers Occident. Nous étions une bande de copains. Je
n’ai jamais supporté que l’on m’interdise de m’exprimer. J’ai fait la
campagne de Jean-Louis Tixier-Vignancour en 1965. On se spécialisait
dans la relation conflictuelle et musclée avec l’extrême gauche. On
s’est pris des raclées, j’ai eu le cuir chevelu entamé. Après
l’incident de Rouen, où je n’étais pas impliqué, j’ai rejoint les
Républicains indépendants[10]. »

* Pour Alain Madelin : «
[J’étais animé par un] anti-communisme militant, extrême et passionné,
qui a accompagné une bonne partie de ma vie d’étudiant. Et comme à ce
moment-là, la France de l’anticommunisme était marginalisée, nous avons
été systématiquement confinés à l’extrême droite. En face, ils étaient
pour Mao et Pol Pot, pour les Gardes rouges et pour les Khmers rouges.
Je ne regrette pas de ne pas avoir choisi ce camp-là[11]. »

*
Pour Hervé Novelli : « J’étais plus jeune que les autres, mais j’étais
spontanément du côté de l’ordre. A l’époque, il n’y avait rien entre
l’extrême droite et l’extrême gauche. Je n’ai pas un regret, Occident,
c’était un engagement anticommuniste dans lequel je me reconnais
toujours. C’est une époque révolue, il en reste une sorte d’amitié liée
à l’adolescence. Ne tombons pas dans le piège de la béatification de
l’extrême gauche et de la diabolisation de l’extrême droite[12]. »

*
Pour François d’Orcival : « J’étais à la FEN [Fédération des étudiants
nationalistes], de 1962 à 1964. Cela correspond à des convictions de
jeunesse, au bouillonnement des 20 ans. Je n’ai pas à renier cette
époque, et il n’y a rien qui soit indigne. En 1962, j’avais été interné
dans un camp, car j’étais Algérie française. Nous étions antimarxistes,
mais je n’ai pas fait partie d’Occident. Je n’ai jamais été un
extrémiste. Je ne suis pas un ancien combattant, et je suis journaliste
depuis quarante ans. Tout ce que je peux dire, c’est que de Gaulle
avait raison[13]. »

* Pour Didier Schuller : « Je suis entré à
la Corpo de droit à Assas en 1964. J’étais un militant d’occasion qui
fait le coup de poing. J’étais très Algérie française, mais si je ne
suis pas allé à Occident, c’est que je ne voulais pas être le “juif” de
ce mouvement. Je suis vite revenu vers des choses plus raisonnables, et
en 1972, je suis entré dans les cabinets ministériels[14]. »

Trouvé sur Wikipédia
Revenir en haut Aller en bas
http://www.scalp86.positifforum.com
le git
gaucho baroudeur...
le git


Nombre de messages : 230
Date d'inscription : 02/11/2008

OCCIDENT" colonise le Gouvernement de la République Empty
MessageSujet: Re: OCCIDENT" colonise le Gouvernement de la République   OCCIDENT" colonise le Gouvernement de la République Icon_minitimeLun 8 Déc - 2:03

n'oublions pas boutin catho-ultra,antiivg...

et le sinistre de l'immigration exgudard!
Revenir en haut Aller en bas
 
OCCIDENT" colonise le Gouvernement de la République
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» "mobilisation syndicale massive" ..pour info
» Une société de gauche est-elle encore possible en Occident ?
» "Regain de militantisme autonome outre rhin"
» Rwada,"génocide made in france" en procès!
» INTERVIEW : Le groupe "Pavillon Noir" Poitiers

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Collectif de Révolte Anti-Capitaliste Poitiers :: Rubrique Thématique :: Dossiers-
Sauter vers: