notre beau gesson sera bien là mardi

Bonjour et bonne année à tous!

je viens vers vous dans la perspective des deux principaux RDV de la semaine
prochaine :

1) AG de l'intersyndicale le 12 janvier à 12h (un amphi a t-il été réservé?
sinon je veux bien m'en occuper) où nous ferons le point sur l'état de nos
forces. Pour le moment et après un premier décompte (chiffres forcément
parcellaires et sous évaluant le nombre de collègues) ce n'est pas si mal pour
la rétention des notes en tout cas : Dpt physique 20; chimie tout le
département? : ; Italien 9; Anglais 22; Sociologie 14, Maths : 3; la psycho se
réunit le 15 janvier mais avec de bonnes chances de rejoindre le mouvement. Je
vous joins les différentes motions que j'ai pu récupérer.
Le point faible (?) : la quasi totalité des collègues sont pour une rétention
des notes (selon des modalités différentes) mais réticents sur la démission des
responsabilités administratives. Désolé de ne pas pouvoir être plus précis pour
le moment. Mais chacun peut tirer parti de ce premier décompte pour rassurer les
collègues qui se sentiraient un peu tout seuls! Il faut compléter tout ça bien
sûr.

2) Réunion débat sur mastérisation et recherche avec Gesson : j'ai été contacté
par Dalançon pour confirmation. Cette réunion aura lieu amphi J à partir de 14h
dans le même esprit d'organisation que pour le 2 décembre. Il faut absolument
que nous prenions le temps de discuter de cet échange lundi prochain.

Bien amicalement,

Stéphane

Dites-moi, au sujet de la rencontre avec Gesson... Vous-êtes vous procurée la lettre qu'il a envoyé à Pecresse?

Il aurait bien des explications à fournir dessus.

si tu pouvais nous la transmettre, cela nous serait d'une grande utilité !

c ki stephane?

Stéphane Vauclain, syndicaliste SNES-FSU, Prof de gestion. Je lui demande d'emmener la lettre pour la réunion de lundi. En tout cas on peut l'attaquer sur le fait qu'il se dit comme un défenseur du service public. faut bien se préparer niveau argumentaire.

Qui peut faire des affiches ? Faut mettre des trucs, à l'arrache ou pas ds chaque UFR pour faire venir les étudiants à cette putain d'AG. C'est pas tous les jours qu'il se déplace. Sam s'occupe de SHA géo-psyco, qui se bouge aussi ?

danton cul a écrit:

Dites-moi, au sujet de la rencontre avec Gesson... Vous-êtes vous procurée la lettre qu'il a envoyé à Pecresse?

Il aurait bien des explications à fournir dessus.

Ba ceux qui étaient présent au conseil d'administration on la connait...

Ah c'est celle-là ! Ok

quelqu un peut nous faire un petit compte rendu pour le mettre sur le site du mouvement etudiant ?

black jack a écrit:

c ki stephane?

et la langue française bordel!

Haymarket a écrit:

black jack a écrit:

c ki stephane?

et la langue française bordel!

désolé les 39h00 ca abruti!
merci monsieur le delegué du cabinet du rectum pour tes contrats de travail merdique pour remplacer des fonctionnaires usés.... (je devrais meme dire usé-e-s du dos...)

Au fait ça c'était juste la réunion pour faire l'état des lieux avant de voir Gesson. J'epsère que vous serez là cette aprèm'.

Sinon voici la lettre qu'il a envoyé à Pecresse :
Poitiers, le 29 avril 2008
N° / Réf. : 08-158
Tél. : 33 (0)5 49 45 30 33 Fax : 33 (0)5 49 45 30 80
Le Président de l’Université
à
Madame la Ministre
de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche
21 Rue Descartes
75231 PARIS CEDEX 05
Monsieur le Directeur Général de l’Enseignement Supérieur

Madame la Ministre,

Monsieur le Directeur Général,

Vous m’avez communiqué les moyens alloués en 2009 à l’université de Poitiers tels qu’ils résultent du nouveau système d’allocation. J’ai pu ainsi constater que le budget de mon établissement progresserait en 2009 de 4,8% par rapport aux crédits 2008 (pour une moyenne nationale de + 15%), et qu’il lui était demandé :

1. - de ne pas renouveler 3 départs à la retraite ;
   
   
   
   
2. - de contribuer à l’effort de redéploiement d’emplois en faveur des universités les moins bien dotées à hauteur de 5 non renouvellements de départs à la retraite ;
   
   
   
   
3. - d’intégrer dans ses perspectives de nouveaux efforts de non renouvellements à hauteur de 5 emplois pour 2010 et de 5 emplois pour 2011.
   

Madame la Ministre, Monsieur le Directeur Général, je ne vous cacherai ni la profonde déception, ni le découragement de l’équipe présidentielle à l’annonce de ces moyens, particulièrement en ce qui concerne les emplois :

1. - sur le détail des éléments de calcul, et dans l’attente des annexes explicatives qui doivent nous parvenir prochainement par voie postale, je ne peux que m’interroger sur l’exactitude des éléments qui ont été pris en compte. En ce qui concerne le nombre d’emplois de titulaires 2008 par exemple, toutes nos vérifications aboutissent à un total de 2301,5 emplois, et non de 2 314 emplois comme l’indique votre fiche récapitulative : l’université de Poitiers se situe donc actuellement, du point de vue des emplois de titulaires en deçà de la cible à atteindre en 2009 ;
   
   
   
   
2. - sur la mise en oeuvre des réductions d’emplois, aucun calendrier n’est indiqué, aucune circulaire n’est publiée, mais en tout état de cause, il est quasiment impossible d’imaginer des prises de décisions et des saisies avant la fin de l’année ;
   

1. - plus fondamentalement, l’université de Poitiers conduit depuis plusieurs années une politique de redéploiement entre composantes, dont la mission d’audit chargée d’évaluer notre capacité à accéder aux responsabilités élargies n’a pas manqué, tout récemment, de souligner l’importance et le nécessaire renforcement ;
   
   
   
   
2. - en 2008, nous avons même demandé la transformation d’emplois d’enseignants-chercheurs en emplois de BIATOSS, opération dont le bien-fondé n’a pas été reconnu aisément en interne, ce qui devrait, me semble-t-il, être porté au crédit d’une politique responsable, voire, disons le mot : courageuse.
   

2

compte rendu final après reparques de certains profs :

Les étudiants et personnels de l’Université de Poitiers réunis en Assemblée Générale le lundi 12 janvier 2009 réaffirment avec force leur attachement au service public de l’enseignement et de la recherche et leur opposition aux réformes menées par le gouvernement actuel qui, en restructurant le paysage universitaire sapent en réalité les fondements même de notre démocratie.