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| Intervention des USA en Bolivie | |
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black jack Gloire a toi grand timonier!!!
Nombre de messages : 1069 Localisation : vous etes ici! Date d'inscription : 01/10/2007
| Sujet: Intervention des USA en Bolivie Sam 1 Nov - 19:42 | |
| - Citation :
- Un journaliste usaméricain démontre l’intervention des USA en Bolivie
samedi 25 octobre 2008
La Paz, ABN – samedi dernier, le journaliste et chercheur usaméricain Jeremy Bigwood a présenté une série de preuves et de documents qui démontrent que le gouvernement US était intervenu en diverses occasions en Bolivie, avec la claire intention de déstabiliser le gouvernement légitime du président Evo Morales Ayma.
En se servant des outils que lui offre un pouvoir économique aujourd’hui mis en cause, le gouvernement usaméricain a tenté de déstabiliser et de faire disparaître Evo Morales de la scène politique, en agissant au travers de son Département d’État, de l’Agence US pour le Développement International (USAID) et du Fond National pour la Démocratie (NED).
Au cours d’une conférence de presse, , Bigwood a présenté 6 documents obtenus en invoquant la Loi pour la Liberté de l’Information de son pays, lesquels démontrent l’interventionnisme alarmant de Washington en Bolivie au travers de l’USAID, du NED et du Département d’État.
Le journaliste condamne le fait que le gouvernement de son pays a considéré depuis le début les années 90, l’ex-dirigeant cocalero (1) « comme une menace pour les plans des USA dans l’hémisphère ».
Le premier document présenté par notre journaliste investigateur est une lettre de l’ambassade des USA, datée du 25 novembre 2001 et adressée au président bolivien de l’époque, Jorge Quiroga Ramírez, qui est maintenant à la tête de la principale force d’opposition : Poder Democratico y Social (Podemos) [A] [Pouvoir Démocratique et Social]. Dans cette lettre, le gouvernement usaméricain signale que« Quiroga Ramírez ne s’était pas suffisamment manifesté contre Evo Morales » quand celui-ci était le dirigeant du comité de coordination des six fédérations du tropique de Cochabamba.
Un autre document montré par l’investigateur montre qu’en 2004 des sommes d’argent du Fond National pour la Démocratie (NED) avait été versées à la Chambre d’Industrie et de Commerce de Santa Cruz (CAINCO) [B].
Avec ces subventions d’environ 128.825 dollars, selon Bigwood, la CAINCO avait réalisé divers séminaires afin de développer une campagne pour la défense de la population et qu’elle obtienne un aide sociale.
« Ceci démontre que les fonds US sont destinés à affecter directement la Bolivie, son opinion publique et à sa législation interne », a affirmé Bigwood.
En outre, a-t-il ajouté, la NED et l’USAID ont impulsé en 2006 la réalisation de différents forums sur le thème de l’autonomie et de la décentralisation, principalement à Santa Cruz, qui est le département où l’esprit de division et de séparatisme est le plus exacerbé, suivis de Beni, Tarija et depuis peu le Pando , les quatre formant ce que l’on appelle la media luna (la demi-lune).
« C’est une évidence flagrante, qu’à travers leurs divers organismes– et spécialement l’USAID - le gouvernement US, a conspiré, et continue à le faire, contre le gouvernement de la Bolivie », a affirmé Bigwood.
Bigwood est journaliste, photographe et reporter d’investigation. Il a travaillé au Times, à Newsweek, News and World Report, ainsi que dans la presse écrite : Village Voice, Caretas del Perú et l’American Journalism Review.
(1) Bigwood a confirmé que la documentation vient de source gouvernementale, obtenue grâce à l’aide d’officiers de l’armée usaméricaine « qui sont en désaccord avec la politique hostile de leur pays vis-à-vis de la Bolivie ».
Traduction : Esteban G révisé par Fausto Giudice Source : Periodista estadounidense demuestra intervención de EEUU en Bolivia tlaxcala.es Quelques notes pour rappel : [A]PODEMOS est le parti politique (actuellement d'opposition) créé en 2005 par Jorge « Tuto » Quiroga (ex gouverneur de la banque mondiale, miam miam) afin de contrer l'avancée du MAS (parti de Morales) lors des élections de 2005. PODEMOS est rassembleur de toutes les affinités de droite libéral et/ou raciste (historiquement à l'est et au centre du pays). Pour mémoire, "Tuto" Jorge Quiroga a été membre de l’Acción Democrática Nacionalista (ADN) [Action démocratique nationaliste], parti de feu le dictateur Hugo Banzer Suárez qui "gouverna" sans partage la Bolivie pendant deux périodes : comme dictateur de 1971 à 1978, et après scrutin électoral de 1997 à 2001. Il est élu en 1998 vice-président de la Bolivie à 37 ans, sous la présidence de Hugo Banzer Suárez. Il succède ensuite à Hugo Banzer Suárez en 2001 et reste au pouvoir jusqu'en août 2002. Des chaises musicales sans charango. [B] (tiré du site http://socio13.wordpress.com/) La Chambre d’Industrie et de Commerce de Santa Cruz (CAINCO), est l’un des groupes privés les plus importants de ce département de là elle irradie son influence sur le reste du pays. A ce propos, il faut remarquer le fait suivant : Branko Marincovic (ex-presidente de CAINCO) est l’actuel président du Comité Civique de Santa Cruz, un artisan et le conducteur de la création de la dite CONALDE (un groupe de préfets adversaires, de comités civiques et de force politique de ce que l’on appelle la « Media Luna ») ; Gabriel Dabdoub (ex-president de CAINCO), est l’actuel président de la Confédération d’Entrepreneurs Privés de la Bolivie (CEPB), l’organisme depuis lequel il attaque sans relache la gestion économique du gouvernement d’Evo Morales; Oscar Ortiz (ex-gérant général de CAINCO), est aujourd’hui Président du Sénat National, grâce à une alliance entre PODEMOS, UN et le MNR. Ortiz a été l’homme fort de la CAINCO jusqu’à ce que Tuto Quiroga le nomme candidat Sénateur pour PODEMOS dans les dernières élections nationales de décembre 2005; il avait été antérieurement dans le Directoire de la société pétrolière ANDINE (REPSOL). Selon son portail (http://www.cainco.org.bo), “CAINCO, est une organisation corporative qui agglutine les entreprises industrielles, commerciales, de services et tourisme, légalement établies dans le département de Santa Cruz. Nous représentons le secteur patronal en promouvant le développement, la compétitivité, la protection et la défense des intérêts des entreprises, associé au progrès économique et social du pays “. Cependant, avec les exemples de Marincovic, de Dabdoub et d’Ortiz il est établi que dans la protection et la défense des intérêts des entreprises, son noyau dirigeant s’occupe activement de la construction d’alternatives politiques en faveur du néolibéralisme. Si on considère le répertoire des entreprises adhérentes à CAINCO on trouvera des entreprises pétrolières (Repsol) ANDIN et LE SHAKO (British Petroleum), dans lesquelles récemment le gouvernement a raflé la majorité d’actions (plus de 50 %). | |
| | | black jack Gloire a toi grand timonier!!!
Nombre de messages : 1069 Localisation : vous etes ici! Date d'inscription : 01/10/2007
| Sujet: Re: Intervention des USA en Bolivie Sam 1 Nov - 19:43 | |
| - Citation :
- Qui est qui dans le « croissant » bolivien ?
Résumé sur la base d'articles de la revue Nazioncamba
Source : Asamblea Constituyente de Bolivia.
- « Oustachi » : une organisation criminelle rejetée même en Argentine, mais admise en Bolivie.
- ADN, Action Démocratique Nationaliste, qui a été la version bolivienne du fascisme. Ses couleurs noir, blanc et rouge sont une allusion claire aux couleurs allemandes.
- La colonie yougoslave, qui agglomérait serbes, croates, bosniaques, albanais et macédoniens, sans aucune distinction.
Durant l'année 1971 ces cercles arrivent au pouvoir grâce à un colonel de l'armée, d'ascendance allemande, Hugo Banzer Suárez.
La colonie yougoslave n'était pas considérée comme réactionnaire. La plupart de ses membres ont occupé des charges administratives dans les universités. Beaucoup d'entre eux ont même rejoint différents groupes armés, (Ivo Stambuck, Oruro)
Une fois la Yougoslavie dissoute les Croates boliviens ont joué un important rôle dans la Guerre de Sécession de la Yougoslavie en ayant obtenu que d'importantes livraisons de matériel de guerre destinées à l'Armée Nationale de la Bolivie soient détournées avec l'aide du Consulat bolivien d'Hambourg vers la Croatie. Où un parent de Jaime Paz dirigeait le Consulat. Étant donné ce scandale le Consulat a dû fermer presque pendant une année.
Le groupe croate est l'un des plus actifs dans le processus de désintégration de la Bolivie. Il a promu la création de plusieurs groupes sécessionnistes, dont le plus actif est la « Nation Camba ». Ils reprirent le symbole d'une demi-lune, en allusion à la demi-lune Croate, qui durant l'année 1482 s'est constituée dans le dernier bastion de l'Europe contre l'expansion de l'Empire Ottoman. Cette fois une demi-lune défendra la « civilisation » contre les ennemis de la globalisation et du progrès, les Kollas, peuple indigène des hauts plateaux.
Sa motivation de lutte se réduite au racisme « antikolla » et n'est ni rationnelle ni logique. Ils sont organisés autour de l'UJC, (Union Juvénile Cruceñista), dans des cellules de quartier, la plupart à Santa Cruz (75) et Montero (20). (Ils ont progressé à Tarija, Beni, Pando et Cochabamba)
Les Italiens
Un autre important groupe de fascistes qui est arrivé en Bolivie fut celui des italiens. Durant les années 70, la Bolivie s'est trouvée mêlée à une série de problèmes de la guerre froide secrète. L'exécution de « Toto » Quintanilla, le Consul de Bolivie à Hambourg par Mónica Ertl avec l'aide de révolutionnaires italiens a conduit à la collaboration de l'intelligence bolivienne avec les services secrets et les fascistes italiens. Conséquence de cette collaboration sont arrivés en Bolivie personnages comme Diodato (Marco Marino) et d'autres fascistes italiens, suspects de nombreux actes terroristes en Italie. Tous nous savons que Diodato a formé des unités spéciales dans l'armée bolivienne. Commandos d'action immédiate, unités de franc-tireurs, commandos de « neutralisation silencieuse », etc. Diodato s'est marié avec une des nièces de Banzer.
Les Américains
Une autre force étrangère d'importance est la présence étasunienne. Il y a trois types de forces différentes stationnées dans le pays. Des Groupes de boliviens, ex-membres des forces répressives, peu fiables et d'action limitée ; des résidents latinoamericains comme sources d'information, majoritairement des gens d'affaires et des groupes d'Action Rapide, y compris de très nombreux camouflés entre « menonitas « et résidents argentins.
Les Militants du « croissant » :
- Mirtha Quevedo Acalinovic : elle suit au pied de la lettre les ordres de Gonzalo Sánchez de Lozada qui a obtenu de transformer le MNR dans un groupe sans forme ni contenu, en faveur des transnationales du pétrole et du pillage de la Bolivie. - Andres Petricievic : qui en peu de temps s'est transformé en banquier, agro-industriel, constructeur et l'un des plus grands propriétaires terriens tant dans l'est comme l'ouest de la Bolivie, principal promoteur du croissant. Il a été ex ministre de transports de Paz Estenssoro et a fait fortune dans la construction de plusieurs routes et l'actuel bâtiment du Palais de Télécommunications. - Svonko Marincovic : On dit que quand il a été préfet de Santa Cruz, sur ordre du dictateur Banzer on lui a attribué environ 300.000 hectares proches de Puerto Bush. Ses liens avec des entreprises comme EBX sont évidents depuis ces derniers mois. Il a été président de la CAINCO. - Branko Marincovic : Chef d'une entreprise d'élevage qui possède des terres illégales dans ce département, a accompagné les gouvernements de Jaime Paz, Gonzalo Sanchez et Hugo Banzer.
Le Comité pro Santa Cruz
La face visible est la direction de l'organisation politico-patronale Comité Pro Santa Cruz (CPSCZ), conduite par Germán Antelo.
Gonzalo Sanchez de Lozada. COMSUR
Membre du CFR des Etats-Unis. De nationalité étasunienne, il a fait son service militaire aux Etats-Unis. Réfugié à Miami après sa démission comme président de la Bolivie. Propriétaire d'innombrables mines et autres propriétés à titre personnel, associé ou comme actionnaire d'entreprises transnationales. Il s'est approprié, par l' influence de ses parents, la mine « Porco » et avec la relocalisation de la mine « Colquiri ». Actionnaire de « Don Mario », « Inti Raymi », « San Cristobal », etc.
Son frère Antonio Sánchez de Lozada, a été nommé Contrôleur de la République.
Jorge « Tuto » Quiroga
Membre du CFR des Etats- Unis. Il a étudié aux Etats-Unis. Héritier d'ADN. Il a des intérêts directs dans la Banque Mercantil de Bolivie.
Les Entreprises pétrolières transnationales
PETROBRAS, (qui est filiale de BRAS), British Petroleum, Total et British Gaz, associées avec Repsol - YPF dans le Consortium Pacific LNG… Ont formé un syndicat dont le siège est à Santa Cruz, la « Cámara de Hidrocarburos » (Chambre d'Hydrocarbures).
L'Union Juvénile Cruceñista et ses succursales (Tarija ; Calme ; Beni et cbba)
Des groupes de choc, de « jeunes », bambins d'Equipetrol, « camba-collas », lumpens et d'autres. ils sont la chaire à canon pour faire respecter les PARO-SECUESTROS du Comité Civique de Santa Cruz.
La FUL - Santa Cruz
Comme la FUL, des centaines d'organisations de base sont contrôlées par l'UJC ou des militants de la « Nation Camba ». N'oublions pas que dans le dernier conflit sur le Mutun [1], la FUL a ouvertement exhibé des armes pour menacer le gouvernement d'Evo Morales.
La presse crucegna
Des journaux comme « El Deber » , « El Mundo », « El Nuevo Dia », des chaines TV comme UNITEL , GIGAVISION et une centaine de stations de radio sont la propriété directe de « chefs d'entreprise crucegnos » et reproduisent quotidiennement l'idéologie de la « Nation Camba » et de l'« Autonomie » et sont les colonnes vertebrales de la guerre médiatique contre le gouvernement. UNITEL appartient à la famille Monasterios (Propriétaires terriens). À ceci s'ajoute la presse transnationale comme le Groupe PRISME d'Espagne qui a des intérêts dans le pétrole.
Les propriétaires terriens
Ce ne sont pas plus de 100 familles qui possèdent des millions d'hectares aptes à la production. Ils sont chargés d'organiser les groupes de choc pour faire face aux indiens et éviter que le Mouvement sans Terre agisse. Dans ce groupe on peut ajouter tous ceux qui exploitent du bois et des pierres semi précieuses dans le Gaiba : La Bolivianita.
Le Groupe « Nation Camba »
- Carlos Valverde Barbery : C'est, comme il est dit communément, le « pouvoir derrière le trône ». Auteur de diverses publications dans lesquelles il développe son idéal raciste, c'est la base idéologique dans laquelle on affirme les thèses de la Nation Camba et son mouvement en général. Connu comme militant phalangiste (bien que la Nation Camba refuse de l'admettre) au temps des dictatures étant donné son « efficacité » comme paramilitaire, Carlos Valverde Barbery a été ministre de Banzer. - Sergio Antelo : Architecte et ex-maire de la ville. C'est la tête la plus visible actuellement de la Nation Camba. Infatigable (et imbuvable) exposant la panoplie pseudo idéologique de la Nation Camba dans toutes les occasions qui se présentent. Il ne peut pas éviter d'inclure, chaque trois mots, son intention d'arriver à l'utilisation de la force pour « défendre les desseins sacrés » de notre région. Et aux loggias qui pillent nos coopératives, il ne leur adresse même pas un demi-mot. - Carlos Dabdoub Arrién : connu médecin crucegno d'origine arabe. Son récent intérêt dans des questions « historiques » le transforme, avec d'autres membres de Nation Camba, le « soutien historique » de ce mouvement. Ne cessent pas d'être intéressant ses appréciations personnelles relatives aux loggias. Il s'est transformé d'un de ceux « scribes » de Nation Camba. C'été comme porte-parole du Comité Civique que la démonstration, une fois de plus, que ceux du Comité Civique, de la Nation Camba et des loggias ils sont tous la même chose. - Paula Pena : Jeune professionnelle, issue d'une famille d'immigrants allemands, éduquée avec de stricts principes et influencée par le régionalisme de son père, le fameux dirigeant sportif Edgar Galet Gutierrez, et de son oncle Aldo Galet, partisan enthousiaste de la « Nation Camba ». Diplômée d'Histoire à l'Université Catholique d'Uruguay, enseignant à l'Université Étatique de Santa Cruz, là où on la connaît comme « la Général » par son caractère dictatorial et pour ne pas permettre la confrontation d'idées avec sa pensée et son interprétation de l'histoire, surtout régionale. Une de ses références favorites qu'elle distribue depuis sa chaire est le livre « Mein Kempf » d'Adolphe Hitler. Elle a écrit le livre « La Permanente Construcción de lo Cruceño » (La Permanente Construction du Crucegno pour aider à consigner les bases de la formation de l'organisation Nation Camba) ». Grâce à son attachement avec les « groupes de pouvoir » elle a été projetée comme le référent régionae pour diffuser la vision de la Nation Camba sur l'« histoire » de Santa Cruz, présentée aux médias sous l'étiquette d'« historienne », mais depuis le temps qu'elle fait des incursions en politique, c'est-à-dire être de « Nation Camba » bien que honteuse, elle le dissimule, sa chance d'être réellement historienne a du plomb dans l'aile. En résumant, elle fait un travail de soutien idéologique et c'est la voix de la pensée des loggias qui depuis le Comité Civique pro Santa Cruz est projetée.
Les Alliés naturels
Les préfets Cochabamba, Santa Cruz, de La Paz, Beni, Pando et Tarija, Ces groupes qui sont les émanations du pouvoir créées par la Révolution de 52 et les partis traditionnels « diminués en nombre de vote » mais avec suffisant pouvoir car transformés en « Organisations des citoyens », ils ont la tâche d'empêcher que prospère le gouvernement d'Evo Morales et que l'Assemblée Constitutiante eéchoue. Dans sa conception on perçoit l'usure de Tuto Quiroga et le renforcement de Manfred Reyes Villa.
Ces 6 préfets ont créé un syndicat de préfets et se sont rendus ensemble aux Etats-Unis et pas précisément pour faire du tourisme. leur première action est de coopter toutes les organisations de base possible. Dirigeants des Transport, d'OTBs, Mairies (Quillacollo, Socaba, Cotoca, etc.), pour construire une base sociale qui plus tard soutiendra dans les rues le projet sécessionniste de la Bolivie. | |
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