Collectif de Révolte Anti-Capitaliste Poitiers
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 Intervention des USA en Bolivie

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black jack
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MessageSujet: Intervention des USA en Bolivie   Intervention des USA en Bolivie Icon_minitimeSam 1 Nov - 19:42

Citation :
Un journaliste usaméricain démontre l’intervention des USA en Bolivie

samedi 25 octobre 2008

La
Paz, ABN – samedi dernier, le journaliste et chercheur usaméricain
Jeremy Bigwood a présenté une série de preuves et de documents qui
démontrent que le gouvernement US était intervenu en diverses occasions
en Bolivie, avec la claire intention de déstabiliser le gouvernement
légitime du président Evo Morales Ayma.

En se servant des outils
que lui offre un pouvoir économique aujourd’hui mis en cause, le
gouvernement usaméricain a tenté de déstabiliser et de faire
disparaître Evo Morales de la scène politique, en agissant au travers
de son Département d’État, de l’Agence US pour le Développement
International (USAID) et du Fond National pour la Démocratie (NED).

Au
cours d’une conférence de presse, , Bigwood a présenté 6 documents
obtenus en invoquant la Loi pour la Liberté de l’Information de son
pays, lesquels démontrent l’interventionnisme alarmant de Washington en
Bolivie au travers de l’USAID, du NED et du Département d’État.

Le
journaliste condamne le fait que le gouvernement de son pays a
considéré depuis le début les années 90, l’ex-dirigeant cocalero (1) «
comme une menace pour les plans des USA dans l’hémisphère ».

Le
premier document présenté par notre journaliste investigateur est une
lettre de l’ambassade des USA, datée du 25 novembre 2001 et adressée au
président bolivien de l’époque, Jorge Quiroga Ramírez, qui est
maintenant à la tête de la principale force d’opposition : Poder
Democratico y Social (Podemos) [A]
[Pouvoir Démocratique et Social]. Dans cette lettre, le gouvernement
usaméricain signale que« Quiroga Ramírez ne s’était pas suffisamment
manifesté contre Evo Morales » quand celui-ci était le dirigeant du
comité de coordination des six fédérations du tropique de Cochabamba.

Un
autre document montré par l’investigateur montre qu’en 2004 des sommes
d’argent du Fond National pour la Démocratie (NED) avait été versées à
la Chambre d’Industrie et de Commerce de Santa Cruz (CAINCO) [B].

Avec
ces subventions d’environ 128.825 dollars, selon Bigwood, la CAINCO
avait réalisé divers séminaires afin de développer une campagne pour la
défense de la population et qu’elle obtienne un aide sociale.

«
Ceci démontre que les fonds US sont destinés à affecter directement la
Bolivie, son opinion publique et à sa législation interne », a affirmé
Bigwood.

En outre, a-t-il ajouté, la NED et l’USAID ont impulsé
en 2006 la réalisation de différents forums sur le thème de l’autonomie
et de la décentralisation, principalement à Santa Cruz, qui est le
département où l’esprit de division et de séparatisme est le plus
exacerbé, suivis de Beni, Tarija et depuis peu le Pando , les quatre
formant ce que l’on appelle la media luna (la demi-lune).

«
C’est une évidence flagrante, qu’à travers leurs divers organismes– et
spécialement l’USAID - le gouvernement US, a conspiré, et continue à le
faire, contre le gouvernement de la Bolivie », a affirmé Bigwood.

Bigwood
est journaliste, photographe et reporter d’investigation. Il a
travaillé au Times, à Newsweek, News and World Report, ainsi que dans
la presse écrite : Village Voice, Caretas del Perú et l’American
Journalism Review.

(1) Bigwood a confirmé que la documentation
vient de source gouvernementale, obtenue grâce à l’aide d’officiers de
l’armée usaméricaine « qui sont en désaccord avec la politique hostile
de leur pays vis-à-vis de la Bolivie ».

Traduction : Esteban G révisé par Fausto Giudice
Source : Periodista estadounidense demuestra intervención de EEUU en Bolivia
tlaxcala.es

Quelques notes pour rappel :

[A]
PODEMOS est le parti politique (actuellement d'opposition) créé en 2005
par Jorge « Tuto » Quiroga (ex gouverneur de la banque mondiale, miam
miam) afin de contrer l'avancée du MAS (parti de Morales) lors des
élections de 2005. PODEMOS est rassembleur de toutes les affinités de
droite libéral et/ou raciste (historiquement à l'est et au centre du
pays). Pour mémoire, "Tuto" Jorge Quiroga a été membre de l’Acción
Democrática Nacionalista (ADN) [Action démocratique nationaliste],
parti de feu le dictateur Hugo Banzer Suárez qui "gouverna" sans
partage la Bolivie pendant deux périodes : comme dictateur de 1971 à
1978, et après scrutin électoral de 1997 à 2001. Il est élu en 1998
vice-président de la Bolivie à 37 ans, sous la présidence de Hugo
Banzer Suárez. Il succède ensuite à Hugo Banzer Suárez en 2001 et reste
au pouvoir jusqu'en août 2002.
Des chaises musicales sans charango.

[B] (tiré du site http://socio13.wordpress.com/)
La Chambre d’Industrie et de Commerce de Santa Cruz (CAINCO), est l’un
des groupes privés les plus importants de ce département de là elle
irradie son influence sur le reste du pays. A ce propos, il faut
remarquer le fait suivant : Branko Marincovic (ex-presidente de CAINCO)
est l’actuel président du Comité Civique de Santa Cruz, un artisan et
le conducteur de la création de la dite CONALDE (un groupe de préfets
adversaires, de comités civiques et de force politique de ce que l’on
appelle la « Media Luna ») ; Gabriel Dabdoub (ex-president de CAINCO),
est l’actuel président de la Confédération d’Entrepreneurs Privés de la
Bolivie (CEPB), l’organisme depuis lequel il attaque sans relache la
gestion économique du gouvernement d’Evo Morales; Oscar Ortiz
(ex-gérant général de CAINCO), est aujourd’hui Président du Sénat
National, grâce à une alliance entre PODEMOS, UN et le MNR.

Ortiz
a été l’homme fort de la CAINCO jusqu’à ce que Tuto Quiroga le nomme
candidat Sénateur pour PODEMOS dans les dernières élections nationales
de décembre 2005; il avait été antérieurement dans le Directoire de la
société pétrolière ANDINE (REPSOL). Selon son portail (http://www.cainco.org.bo),
“CAINCO, est une organisation corporative qui agglutine les entreprises
industrielles, commerciales, de services et tourisme, légalement
établies dans le département de Santa Cruz. Nous représentons le
secteur patronal en promouvant le développement, la compétitivité, la
protection et la défense des intérêts des entreprises, associé au
progrès économique et social du pays “.

Cependant, avec les
exemples de Marincovic, de Dabdoub et d’Ortiz il est établi que dans la
protection et la défense des intérêts des entreprises, son noyau
dirigeant s’occupe activement de la construction d’alternatives
politiques en faveur du néolibéralisme. Si on considère le répertoire
des entreprises adhérentes à CAINCO on trouvera des entreprises
pétrolières (Repsol) ANDIN et LE SHAKO (British Petroleum), dans
lesquelles récemment le gouvernement a raflé la majorité d’actions
(plus de 50 %).
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MessageSujet: Re: Intervention des USA en Bolivie   Intervention des USA en Bolivie Icon_minitimeSam 1 Nov - 19:43

Citation :
Qui est qui dans le « croissant » bolivien ?

Résumé sur la base d'articles de la revue Nazioncamba

Source : Asamblea Constituyente de Bolivia.

- « Oustachi » : une organisation criminelle rejetée même en Argentine, mais admise en Bolivie.

-
ADN, Action Démocratique Nationaliste, qui a été la version bolivienne
du fascisme. Ses couleurs noir, blanc et rouge sont une allusion claire
aux couleurs allemandes.

- La colonie yougoslave, qui agglomérait serbes, croates, bosniaques, albanais et macédoniens, sans aucune distinction.

Durant l'année 1971 ces cercles arrivent au pouvoir grâce à un colonel de l'armée, d'ascendance allemande, Hugo Banzer Suárez.

La
colonie yougoslave n'était pas considérée comme réactionnaire. La
plupart de ses membres ont occupé des charges administratives dans les
universités. Beaucoup d'entre eux ont même rejoint différents groupes
armés, (Ivo Stambuck, Oruro)

Une fois la Yougoslavie dissoute
les Croates boliviens ont joué un important rôle dans la Guerre de
Sécession de la Yougoslavie en ayant obtenu que d'importantes
livraisons de matériel de guerre destinées à l'Armée Nationale de la
Bolivie soient détournées avec l'aide du Consulat bolivien d'Hambourg
vers la Croatie. Où un parent de Jaime Paz dirigeait le Consulat. Étant
donné ce scandale le Consulat a dû fermer presque pendant une année.

Le
groupe croate est l'un des plus actifs dans le processus de
désintégration de la Bolivie. Il a promu la création de plusieurs
groupes sécessionnistes, dont le plus actif est la « Nation Camba ».
Ils reprirent le symbole d'une demi-lune, en allusion à la demi-lune
Croate, qui durant l'année 1482 s'est constituée dans le dernier
bastion de l'Europe contre l'expansion de l'Empire Ottoman. Cette fois
une demi-lune défendra la « civilisation » contre les ennemis de la
globalisation et du progrès, les Kollas, peuple indigène des hauts
plateaux.

Sa motivation de lutte se réduite au racisme «
antikolla » et n'est ni rationnelle ni logique. Ils sont organisés
autour de l'UJC, (Union Juvénile Cruceñista), dans des cellules de
quartier, la plupart à Santa Cruz (75) et Montero (20). (Ils ont
progressé à Tarija, Beni, Pando et Cochabamba)

Les Italiens

Un
autre important groupe de fascistes qui est arrivé en Bolivie fut celui
des italiens. Durant les années 70, la Bolivie s'est trouvée mêlée à
une série de problèmes de la guerre froide secrète. L'exécution de «
Toto » Quintanilla, le Consul de Bolivie à Hambourg par Mónica Ertl
avec l'aide de révolutionnaires italiens a conduit à la collaboration
de l'intelligence bolivienne avec les services secrets et les fascistes
italiens. Conséquence de cette collaboration sont arrivés en Bolivie
personnages comme Diodato (Marco Marino) et d'autres fascistes
italiens, suspects de nombreux actes terroristes en Italie. Tous nous
savons que Diodato a formé des unités spéciales dans l'armée
bolivienne. Commandos d'action immédiate, unités de franc-tireurs,
commandos de « neutralisation silencieuse », etc. Diodato s'est marié
avec une des nièces de Banzer.

Les Américains

Une
autre force étrangère d'importance est la présence étasunienne. Il y a
trois types de forces différentes stationnées dans le pays. Des Groupes
de boliviens, ex-membres des forces répressives, peu fiables et
d'action limitée ; des résidents latinoamericains comme sources
d'information, majoritairement des gens d'affaires et des groupes
d'Action Rapide, y compris de très nombreux camouflés entre « menonitas
« et résidents argentins.

Les Militants du « croissant » :

-
Mirtha Quevedo Acalinovic : elle suit au pied de la lettre les ordres
de Gonzalo Sánchez de Lozada qui a obtenu de transformer le MNR dans un
groupe sans forme ni contenu, en faveur des transnationales du pétrole
et du pillage de la Bolivie.
- Andres Petricievic : qui en peu de
temps s'est transformé en banquier, agro-industriel, constructeur et
l'un des plus grands propriétaires terriens tant dans l'est comme
l'ouest de la Bolivie, principal promoteur du croissant. Il a été ex
ministre de transports de Paz Estenssoro et a fait fortune dans la
construction de plusieurs routes et l'actuel bâtiment du Palais de
Télécommunications.
- Svonko Marincovic : On dit que quand il a été
préfet de Santa Cruz, sur ordre du dictateur Banzer on lui a attribué
environ 300.000 hectares proches de Puerto Bush. Ses liens avec des
entreprises comme EBX sont évidents depuis ces derniers mois. Il a été
président de la CAINCO.
- Branko Marincovic : Chef d'une entreprise
d'élevage qui possède des terres illégales dans ce département, a
accompagné les gouvernements de Jaime Paz, Gonzalo Sanchez et Hugo
Banzer.

Le Comité pro Santa Cruz

La face visible est la direction de l'organisation politico-patronale Comité Pro Santa Cruz (CPSCZ), conduite par Germán Antelo.

Gonzalo Sanchez de Lozada. COMSUR

Membre
du CFR des Etats-Unis. De nationalité étasunienne, il a fait son
service militaire aux Etats-Unis. Réfugié à Miami après sa démission
comme président de la Bolivie. Propriétaire d'innombrables mines et
autres propriétés à titre personnel, associé ou comme actionnaire
d'entreprises transnationales. Il s'est approprié, par l' influence de
ses parents, la mine « Porco » et avec la relocalisation de la mine «
Colquiri ». Actionnaire de « Don Mario », « Inti Raymi », « San
Cristobal », etc.

Son frère Antonio Sánchez de Lozada, a été nommé Contrôleur de la République.

Jorge « Tuto » Quiroga

Membre
du CFR des Etats- Unis. Il a étudié aux Etats-Unis. Héritier d'ADN. Il
a des intérêts directs dans la Banque Mercantil de Bolivie.

Les Entreprises pétrolières transnationales

PETROBRAS,
(qui est filiale de BRAS), British Petroleum, Total et British Gaz,
associées avec Repsol - YPF dans le Consortium Pacific LNG… Ont formé
un syndicat dont le siège est à Santa Cruz, la « Cámara de
Hidrocarburos » (Chambre d'Hydrocarbures).

L'Union Juvénile Cruceñista et ses succursales (Tarija ; Calme ; Beni et cbba)

Des
groupes de choc, de « jeunes », bambins d'Equipetrol, « camba-collas »,
lumpens et d'autres. ils sont la chaire à canon pour faire respecter
les PARO-SECUESTROS du Comité Civique de Santa Cruz.

La FUL - Santa Cruz

Comme
la FUL, des centaines d'organisations de base sont contrôlées par l'UJC
ou des militants de la « Nation Camba ». N'oublions pas que dans le
dernier conflit sur le Mutun [1], la FUL a ouvertement exhibé des armes
pour menacer le gouvernement d'Evo Morales.

La presse crucegna

Des
journaux comme « El Deber » , « El Mundo », « El Nuevo Dia », des
chaines TV comme UNITEL , GIGAVISION et une centaine de stations de
radio sont la propriété directe de « chefs d'entreprise crucegnos » et
reproduisent quotidiennement l'idéologie de la « Nation Camba » et de
l'« Autonomie » et sont les colonnes vertebrales de la guerre
médiatique contre le gouvernement. UNITEL appartient à la famille
Monasterios (Propriétaires terriens). À ceci s'ajoute la presse
transnationale comme le Groupe PRISME d'Espagne qui a des intérêts dans
le pétrole.

Les propriétaires terriens

Ce
ne sont pas plus de 100 familles qui possèdent des millions d'hectares
aptes à la production. Ils sont chargés d'organiser les groupes de choc
pour faire face aux indiens et éviter que le Mouvement sans Terre
agisse. Dans ce groupe on peut ajouter tous ceux qui exploitent du bois
et des pierres semi précieuses dans le Gaiba : La Bolivianita.

Le Groupe « Nation Camba »

-
Carlos Valverde Barbery : C'est, comme il est dit communément, le «
pouvoir derrière le trône ». Auteur de diverses publications dans
lesquelles il développe son idéal raciste, c'est la base idéologique
dans laquelle on affirme les thèses de la Nation Camba et son mouvement
en général. Connu comme militant phalangiste (bien que la Nation Camba
refuse de l'admettre) au temps des dictatures étant donné son «
efficacité » comme paramilitaire, Carlos Valverde Barbery a été
ministre de Banzer.
- Sergio Antelo : Architecte et ex-maire de la
ville. C'est la tête la plus visible actuellement de la Nation Camba.
Infatigable (et imbuvable) exposant la panoplie pseudo idéologique de
la Nation Camba dans toutes les occasions qui se présentent. Il ne peut
pas éviter d'inclure, chaque trois mots, son intention d'arriver à
l'utilisation de la force pour « défendre les desseins sacrés » de
notre région. Et aux loggias qui pillent nos coopératives, il ne leur
adresse même pas un demi-mot.
- Carlos Dabdoub Arrién : connu
médecin crucegno d'origine arabe. Son récent intérêt dans des questions
« historiques » le transforme, avec d'autres membres de Nation Camba,
le « soutien historique » de ce mouvement. Ne cessent pas d'être
intéressant ses appréciations personnelles relatives aux loggias. Il
s'est transformé d'un de ceux « scribes » de Nation Camba. C'été comme
porte-parole du Comité Civique que la démonstration, une fois de plus,
que ceux du Comité Civique, de la Nation Camba et des loggias ils sont
tous la même chose.
- Paula Pena : Jeune professionnelle, issue
d'une famille d'immigrants allemands, éduquée avec de stricts principes
et influencée par le régionalisme de son père, le fameux dirigeant
sportif Edgar Galet Gutierrez, et de son oncle Aldo Galet, partisan
enthousiaste de la « Nation Camba ». Diplômée d'Histoire à l'Université
Catholique d'Uruguay, enseignant à l'Université Étatique de Santa Cruz,
là où on la connaît comme « la Général » par son caractère dictatorial
et pour ne pas permettre la confrontation d'idées avec sa pensée et son
interprétation de l'histoire, surtout régionale. Une de ses références
favorites qu'elle distribue depuis sa chaire est le livre « Mein Kempf
» d'Adolphe Hitler. Elle a écrit le livre « La Permanente Construcción
de lo Cruceño » (La Permanente Construction du Crucegno pour aider à
consigner les bases de la formation de l'organisation Nation Camba) ».
Grâce à son attachement avec les « groupes de pouvoir » elle a été
projetée comme le référent régionae pour diffuser la vision de la
Nation Camba sur l'« histoire » de Santa Cruz, présentée aux médias
sous l'étiquette d'« historienne », mais depuis le temps qu'elle fait
des incursions en politique, c'est-à-dire être de « Nation Camba » bien
que honteuse, elle le dissimule, sa chance d'être réellement
historienne a du plomb dans l'aile. En résumant, elle fait un travail
de soutien idéologique et c'est la voix de la pensée des loggias qui
depuis le Comité Civique pro Santa Cruz est projetée.

Les Alliés naturels

Les
préfets Cochabamba, Santa Cruz, de La Paz, Beni, Pando et Tarija, Ces
groupes qui sont les émanations du pouvoir créées par la Révolution de
52 et les partis traditionnels « diminués en nombre de vote » mais avec
suffisant pouvoir car transformés en « Organisations des citoyens »,
ils ont la tâche d'empêcher que prospère le gouvernement d'Evo Morales
et que l'Assemblée Constitutiante eéchoue. Dans sa conception on
perçoit l'usure de Tuto Quiroga et le renforcement de Manfred Reyes
Villa.

Ces 6 préfets ont créé un syndicat de préfets et se sont
rendus ensemble aux Etats-Unis et pas précisément pour faire du
tourisme. leur première action est de coopter toutes les organisations
de base possible. Dirigeants des Transport, d'OTBs, Mairies
(Quillacollo, Socaba, Cotoca, etc.), pour construire une base sociale
qui plus tard soutiendra dans les rues le projet sécessionniste de la
Bolivie.
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